Editorial Dialectical Actions Therapy and the Objective of SelfInjury

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in English, French Les causes d’une hypertriglycéridémie doivent être explorées pour choisir la meilleure approche thérapeutique. En cas d’hypertriglycéridémie secondaire, il est préférable de cibler le mécanisme physiopathologique du désordre lipidique. Les mesures hygiéno-diététiques restent la clé de voûte du traitement, pour atteindre un bon contrôle glycémique, tensionnel et pondéral. Uniquement en cas d’échec, les fibrates peuvent être évoqués bien que leur bénéfice clinique soit controversé, avec une attention particulière en cas de bithérapie par statine et fibrate (risque de rhabdomyolyse). La plasmaphérèse ou l’insulinothérapie intraveineuse sont réservées aux situations sévères et décidées avec les différents spécialistes en milieu hospitalier. Le cas clinique présenté ici est un rappel que l’hypertriglycéridémie devrait être recherchée devant toute pancréatite aiguë.in English, French Les bénéfices d’une activité physique régulière pour la santé sont indéniables. Il existe une relation dose-réponse entre la quantité totale d’activités physiques pratiquées et la santé, si bien que chaque occasion doit être saisie pour bouger davantage. Parmi les moyens permettant d’augmenter le niveau d’activité physique de la population, le conseil réalisé en pratique clinique est ­efficace. Le projet Pas à Pas+ présenté dans cet article permet de prolonger le conseil du ou de la professionnelle de santé et d’accompagner concrètement le ou la patiente vers un mode de vie plus actif à travers une prestation de suivi en activité physique sur délégation médicale. Plusieurs défis doivent être relevés afin d’ancrer solidement dans le domaine des soins le conseil en ­matière d’activité physique et sa délégation vers des profes­sionnelles de l’activité physique adaptée.in English, French Les recommandations d’experts pour la prise en charge des dyslipidémies varient d’un pays à l’autre, avec des différences importantes entre les sociétés médicales d’Europe et des États-Unis. Récemment, de nouvelles recommandations américaines et européennes ont été établies. Elles diffèrent principalement dans la stratification du risque cardiovasculaire en prévention secondaire, ainsi que dans les cibles de LDL-cholestérol (LDL-c) à atteindre. Le point commun reste que l’indication au traitement hypolipémiant se base en premier sur le risque cardiovasculaire global, puis sur le taux de LDL-c. Nous présentons une comparaison et une interprétation de ces recommandations.in English, French Les dyslipidémies familiales sont plus rares que les causes communes, mais il est important de ne pas les manquer vu qu’elles sont liées à un risque augmenté de maladie cardiovasculaire précoce et que les scores de risque ne sont pas valables chez ces patients. Un dépistage et une prise en charge précoces reposant sur une optimisation de l’hygiène de vie et une éviction des facteurs de risque cardiovasculaire permettent de retarder la survenue des complications cardiovasculaires et ainsi d’améliorer la qualité de vie des patients. Un seuil de LDL de 4,9 mmol/l pour débuter un traitement hypolipémiant a récemment été proposé, mais reste controversé car la majorité des patients au-dessus de ce seuil n’a pas une forme familiale. L’âge de début d’un traitement et les cibles de traitement sont également controversés.BACKGROUND There are noted birth defects prevalence differences between race/ethnicity groups. For instance, non-Hispanic (NH) Black mothers are more likely to have an infant with encephalocele, although less likely to have an infant with anotia/microtia compared to NH Whites. When stratifying by nativity and years lived within the United States, additional variations become apparent. selleck products METHODS Data from the National Birth Defects Prevention Study were used to calculate descriptive statistics and estimate crude/adjusted odds ratios (aORs) and 95% confidence intervals (95%CIs) among NH Blacks with one of 30 major defects and non-malformed controls. Total case/controls were as follows U.S.- (2,773/1101); Foreign- (343/151); African-born (161/64). Study participants were also examined by number of years lived in the U.S. (≤5 vs. 6+ years). RESULTS Compared to U.S.-born, foreign-born NH Black controls tended to be older, had more years of education, and were more likely to have a higher household income. They also had fewer previous livebirths and were less likely to be obese. In the adjusted analyses, two defect groups were significantly attenuated limb deficiencies, aORs/95%CIs = (0.44 [0.20-0.97]) and septal defects (0.69 [0.48-0.99]). After stratifying by years lived in the United States, the risk for hydrocephaly (2.43 [1.03-5.74]) became apparent among those having lived 6+ years in the United States. When restricting to African-born mothers, none of the findings were statistically significant. CONCLUSIONS Foreign-born NH Blacks were at a reduced risk for a few selected defects. Results were consistent after restricting to African-born mothers and did not change considerably when stratifying by years lived in the United States. © 2020 Wiley Periodicals, Inc.Adequate and appropriate nutrition is essential for growth and development in children; all put at risk in those with cancer. Overnutrition and undernutrition at diagnosis raise the risk of increased morbidity and mortality during therapy and beyond. All treatment modalities can jeopardize nutritional status with potentially adverse effects on clinical outcomes. Accurate assessment of nutritional status and nutrient balance is essential, with remedial interventions delivered promptly when required. Children with cancer in low- and middle-income countries (LMICs) are especially disadvantaged with concomitant challenges in the provision of nutritional support. Cost-effective advances in the form of ready-to-use therapeutic foods (RUTF) may offer solutions. Studies in LMICs have defined a critical role for the gut microbiome in the causation of undernutrition in children and have demonstrated a beneficial effect of selected RUTF in redressing the imbalanced microbiota and improving nutritional status. Challenges in high-income countries relate both to concerns about the potential disadvantage of preexisting obesity in those newly diagnosed and to undernutrition identified at diagnosis and during treatment.